Black Butler : Slightly Chipped Full Moon
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Fiche de Zelus Toboso11
 Black Butler : Slightly Chipped Full Moon
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Fiche de Zelus
Zeph
Zeph
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Age : 31
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MessageSujet: Fiche de Zelus Fiche de Zelus EmptyMer 4 Oct - 10:21

ZELUS

 
AGE ♦ 207 ans
GROUPE ♦  Ange
METIER ♦  Gardien
ARME ♦  Aucune
PHYSIQUE ♦ Autrefois petit garçon, yeux rouges, cheveux blancs, bouille d'enfant, au fur et à mesure de sa vie sur terre a prit de l'âge, a perdu ses cheveux, est devenu beaucoup plus maigre et pâle. A présent dans le corps de Michael.

CARACTERE ♦ Certains sont persuadés que la psychologie même appartient au monde des mortels. Elle est des plus complexe et moi, les regardant faire, je les admirais. Nous n'étions pas si différent psychologiquement parlant, nous réfléchissons de la même manière en somme, juste qu'il nous manque quelque chose qu'eux ont. Un cœur. Pas un simple cœur qui fait couler le sang dans la poitrine, mais un cœur dans la tête. Il varie même selon la personne. Car après tout, n'importe quelle sentiment vient de l'amour. D'abord la haine, qui est très proche de l'amour même si elle est sont opposée. Il suffit parfois d'un pas pour que l'un devienne l'autre, ou que l'autre devienne l'un. La peur, la tristesse, la rancune, le désir, tout par de l'amour. Alors nous qui n'avons rien, comment occupons nous nos journées ?

Pour ma part j'aime beaucoup observer les humains, non pas pour me moquer, loin de moi, mais pour essayer de comprendre leurs réactions, leurs complexité, et surtout les envier. Hou, comme je suis jaloux quand je vois deux d'entre eux se dire des mots d'amours. Et comment dans ses moments là, je ne résiste pas à l'envie de regarder leur amour de plus prêt, et de les imiter. Le temps d'après, ils se quittent. Quoi ? Je n'ai pas le doit d'apprendre moi aussi ? Je n'ai pas le droit de connaître les mots d'amours ?! Comment les hommes peuvent-ils être aussi égoïste et peu partageur ?! C'est après généralement que je décide de les réduire à néant, la rage de ne pouvoir rien savoir me mettant hors de moi. Susceptible, j'en doute, je me rapprocherais plus du comportement capricieux des humains. Les nerfs à vif, je peux m'adonner à toute sorte de choses infectes. Après tout, c'est ce qu'ils font tous, je ne fais qu'imiter.

Et pourtant, parfois, je peux rester des jours sans sortir ni même m'exposer à personne. Je suis dans un état lymphatique, dans lequel je ne ressens aucune émotion, restant renfermé sur moi même, réfléchissant longuement sur n'importe quoi, un minuscule détail qui ne sert à rien. Les yeux dans le vide, sans parler tout haut, ou alors à moi même, pour mieux réfléchir. C'est ma période. Je peux délirer tout seul et faire des trucs invraisemblable. Je suis dans un état second, où je ne sais plus qui je suis, ni ce que je fais. Il m'arrive souvent de me faire du mal à moi même en me blessant volontairement. Enfin, c'est une fois sortie de cet état que je m'en rend compte. Mais qu'importe, puisque dans mon petit monde le temps n'existe pas. Vous saviez que le temps n'est qu'une chose que l'humain a inventé ?

Des choses me viennent en tête parfois, des choses horribles, des voix semblables à des murmures, me conseille de faire des choses. Il m'arrive aussi de jouer les fragiles, en plus de mon état lamentable, pour que les autres prennent pitié de moi. C'est plus marrant, et c'est plus facile pour les approcher et leur arracher ce qui me revient de droit. Certain vous dirons que je suis ignoble, d'autre dirons que je n'ai pas eu de chance. Quoi qu'il en soit, j'ai bien l'intention de détruire tout ceux qui ont tout ce que je ne peux avoir. Ils ne veulent pas me donner leurs vies ? Alors je les leurs arracherais même si je dois en payer le prix.

HISTOIRE ♦  Beginning of the End

« Regardez-là, elle a les yeux du démon ! Pour un ange quelle honte ! »
« Pouah, si ça se trouve elle peut tuer avec ça ! »
« Ange de la mort ! Meurtrière ! »

C'était une période à laquelle j'étais sans cesse la cible de moqueries indescriptibles. Je n'avais pas encore passé cinquante ans dans ma forme angélique et je n'étais jamais parti dans le monde des humains. Je ne connaissais rien de leur monde, et j'ignorais qu'ils était en dessous de nous. Je ne faisais que fuir les miens, nuages après nuages, essayant d'oublier leurs railleries. Je me perdais d'un nuage à l'autre, toujours dans le même corps qui me plaisait de moins en moins. J'étais joli, dans ce corps féminin m'allant si bien, le préférant largement que celui du mâle, que je trouvais plus méprisant. J'avais encore un corps magnifique, de longs cheveux blonds, presque blancs, fins et frisés, les traits raffinées, une magnifique paire d'ailes, tout ce qui faisait un ange. Seuls mais yeux me faisait souffrir. Mes iris étaient si laids que j'ai longuement hésité à me les arracher, mais à quoi bon ? Je n'aurais jamais pu regarder ceux des autres. Leurs sphères de couleurs divines et variés, des bleus ? Des verts ? Des gris ? Je passais mon temps à m'imaginer avec leurs yeux. C'est alors qu'une idée me vint : j'allais voler un œil pour pouvoir le toucher. Un œil d'ange aurait été impossible à prendre sans que cela se remarque, et puis voler celui d'un de ses confrères ne serait pas bien vu par les autres. Mais un œil d'oiseau, c'est comme si c'était la même chose, non ? Eux aussi ils avaient des ailes. Heureusement, je savais où je pouvais en attraper facilement, l'ayant fait de maintes fois. Si l'on descendait de quelques nuages plus bas, on pouvait les apercevoir et même les toucher, et c'est ce que je fis presque aussitôt. C'est alors que j'aperçus en coin une troupe de colombe qui passait par là. Il suffisait simplement de faire mine de vouloir voler avec eux … qu'ils étaient stupides, ils pensaient surement qu'étant un ange ils n'avaient rien à redouter de moi. Mauvaise pioche. En un mouvement rapide, j'en attrapa un dans mes doigts. Il se débattait si vigoureusement que brisa ses deux ailes dans un craquement. Se tenant plus tranquille, j'approchai mes doigts pour arrachait délicatement ses yeux. Ils m'appartenaient maintenant, et plus personne ne pouvait me les reprendre. Les serrant contre moi dans un premier temps, je les admirais aussi par la suite. C'est comme si ils me regardaient encore, ces deux sphères rondes. Je commençais à les balancer en l'air, quand une voix surgit de derrière moi.

« Zelus ! Tes mains sont pleines de sang ! »

Le sursaut me fit perdre ce que j'avais de plus précieux : ils tombèrent toujours et toujours dans le vide, moi m'élançant avec mes robustes ailes pour pouvoir les rattraper, laissant derrière moi le paradis.


Love is Unfair



Ils sont tombés dans l'endroit le plus inaccessible pour moi : l'océan. Ne regardant qu'autour de moi, il n'y avait rien, seulement de l'eau à perte de vu. Je ne l'avais jamais vu sous cette forme avant. Les nuages sont souvent gorgés d'eau là-haut, mais que des gouttelettes bien inoffensives. Ici, c'était regroupé comme un gros bloc, et inimaginable que j'y aille. Je m'approchais prudemment de la surface quand un immense monstre marin voulu me dévorer. Je ne savais pas ce que c'était, mais pour sûr que je n'allais pas rester là. Ne voulant pas remonter là-haut tout de suite, je voulu d'abord retrouver des yeux qui me servirait de trésor. Mais plus je volais, plus le soleil qui était sensé toujours nous éclairer sombra dans l'eau au loin et me laissa seul dans le noir. Le jour et le nuit n'existait pas là-haut, et être dans l'obscurité me bouleversé énormément. Néanmoins, je me devais de continuer à voler, essayant de trouver une lumière quelconque. Le soleil ré-apparaissait, puis re-disparaissait. C'était à en devenir fou, mais durant une nuit, j'aperçus enfin la terre. On ne m'en avait fait que de courtes descriptions. Comme un morceau posé sur l'eau, jamais aussi doux et chaux qu'un nuage, mais dur et froid. Je posais précautionneusement le pied au sol, avant de le retirer presque aussitôt. Je souffrais le martyr en me posant de cette manière, comme si seuls mes pieds supportaient le poids de mon corps entier (et d'ailleurs je pense que je n'avais pas totalement tord). Ce n'était pas réellement de la terre, mais on aurait dit de la poussière, comme si l'eau avait rongée toute la terre et avait déposé le reste ici. À mes côtés se trouvait de bien étranges cailloux et morceaux de bois. Comme si ils avaient été planté là pour pousser dans quelques temps. C'était surement un « champ », vous savez, les humains ont de drôle d'habitude parfois m'avait-on dit. C'est quand je vis le premier au loin que je su que c'était vrai.

Un jeune garçon s'avançait silencieusement à travers l'étrange « champs », les joues toutes humides. Il s'arrêta devant deux morceaux de bâtons en forme de croix et s'agenouilla les mains jointes. Moi, derrière une grosse pierre, j'écoutais ses murmures.

« Père, Mère : j'espère que là où vous êtes vous pouvez encore veiller sur moi. Même si dans l'église, ils me traitent tous bien comme y faut, vous me manquez beaucoup depuis l'accident. J'espère que vous avez pas trop souffert quand vous êtes mort, et je remercie le seigneur de vous avoir accueillit là-haut avec lui. »
« Michael ! Que fais-tu mon enfant ? »
« Je … priais mon père. »

L'autre homme, qui était plus grand, mais étrangement possédait les mêmes cheveux blancs, s'était avancé jusqu'à ses côtés. Il lui déposa même une main sur sa tête, signe de bienveillance, en lui répétant que le bon Dieu veillait sur ses parents comme sur lui. Malgré une pointe de tristesse chez l'enfant, je pouvais ressentir une certaine confiance envers le vieillard, comme si il se savait entre de bonne main. Ils s'éloignèrent côte à côte, moi essayant de comprendre ce qu'ils ressentaient en ce moment même. J'étais, on peut dire, jaloux de leur relation. Le sentiment de confiance envers quelqu'un d'autre, je ne le connaissais pas. Je ne connaissais rien, et j'enviais encore une fois tout. Mais pas encore assez pour que tout se bouleverse. Et puis, il y avait le premier humain que j'avais vu ! Michael de son prénom, il avait des yeux violets si beaux et si éclatants, que pendant plusieurs jours, j'avais hésité à arracher. Finalement, je restais pour pouvoir les contempler sur place. Et si jamais je me faisais surprendre, ils pourront toujours dire qu'ils ont vu une apparition divine. Qu'ils sont naïfs … comme les colombes …

« Michael, je t'aime. »
« Je ne te crois pas ! »
« Mais si, et tu le sais. »
« Non ! »

Le garçon, aussi étrange que cela puisse paraître, avait lui aussi des sentiments envers l'autre personne. Comment cette scène pouvait-être possible ? Un amour ne pouvait se former entre ces deux êtres ! C'était contre nature ! Un démon et un humain ? Et puis quoi encore ?! Un ange et un dieu de la mort tant qu'on y est ! J'avais beau être devant cette scène, je n'y comprenais rien. Sans doute parce que je ne pouvais moi-même aimer.

« S'il te plait, je veux te protéger. »
« Je – je n'ai pas besoin qu'on m'aide … »

Moi ? Incapable d'aimer alors qu'un être infâme de l'enfer le pouvait ? Je le sentais au plus profond de moi, cet amour entre les deux … ça me rendait malade. Je ne valais donc pas mieux qu'une vulgaire bête ? Je ne voulais pas en croire un mot, si lui pouvait aimer, j'en étais capable. Il suffisait de me laisse une chance. Je m'interposa entre les deux, avant même que l'un et l'autre viennent à s'embrasser.

« Je savais bien qu'une chose céleste était ici. »
« Pourquoi ne rien avoir dit avant dans ce cas ? », m'exclamais-je.
« Parce qu'étant dans une église, je me suis dis que cela était banal. Et sinon, pourquoi tu es là ? »
« C'est … c'est à moi de l'aimer ! »
« Pardon ?! »

Le conflit allait bientôt commencer, et c'est moi qui porta le premier coup. Inutile de vous dire qu'il fut bien placé et que la créature infernale fut gravement blessé. Personne n'avait le droit de me dire ce que je devais faire ou ne pas faire. Personne ne devait m'interdire d'aimer … et surtout pas lui.

« Noooooon ! Ne meurt pas s'il te plait. J'ai besoin de toi. »
« Ce n'est pas grave Michael, je ne vais pas mourir d'une simple petite coupure. Néanmoins, il me serait bien avisé de retenir la leçon. »
« Idiot. Si tu crois que je vais te laisser me le prendre. », soufflais-je.

Un autre coup fut porté, et cette fois il cracha du sang. Ce lâche s'enfuit avant même que je ne l'achève. Il avait osé souillé mon précieux humain, il fallait que je le purifie par un quelconque moyen.

« Viens ici petit. »
« Vous … vous l'avez attaqué … »
« Tu es à moi ! »
« JE SUIS UN ÊTRE HUMAIN PAS UNE CHOSE ! »

Ce cri retentit dans la salle vide, comme au plus profond de moi. Il ne voulait pas de mon amour, il ne voulait même pas me regarder. Plus de cinq ans avaient passé depuis que j'étais descendu ici et maintenant il était presque un adulte. Mais c'était la première fois que je le haïssait autant. L'amour serait-il lié à la haine ? Il ne devait s'interposer à moi, mais par mon geste je le fis me haïr aussi. Il fallait que je répare ça. Le seul moyen était de tout enlever, de tout effacer. Je ne pouvais me résigner à le tuer …


End of Beginning

Michael. Le seul humain que j'ai jamais voulu conquérir. Seulement le sort en voulu autrement, changeant ses souvenirs, je lui inventa un passé bien plus noir qu'il ne le fut en réalité. Grâce à ça, il devint comme je l'avais souhaité une machine à tuer. Déchirant les vies les unes après les autres, il assassina tous ceux qui ne méritait pas de vivre. Veillant sur lui dans l'ombre, je ne pu néanmoins m'approcher de lui, craignant qu'il ne retrouve mémoire. Me rongeant de l'intérieur, je devins ce que je suis aujourd'hui, une créature abandonné de Dieu et je n'aurais plus jamais la beauté d'antan. Peu m'importe, j'espère seulement qu'un jour je gouterais à l'amour de Michael Perry.

Londres n'est plus le même depuis quelque temps, mais je m'efforce de sauver le seul être qui m'importe sur cette misérable terre. Je tuerais pour lui, je détruirais pour lui, j'irais en enfer pour lui. Je ferrais ce que bon lui semble seulement je le veux pour moi seul. Certaines personnes se rapprochent, et le veulent pour eux … rira bien qui rira le dernier.

******PARTIE 2*******

(VOIR L'HISTOIRE DE MICHAEL)

LIENS PERSONNAGES ♦

 MICHAEL - ORION - L'HOMME QUI NE MEURT JAMAIS - DANIEL - Certains anges



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